Tunisie – Chine : un partenariat d’avenir
C’est aujourd’hui vendredi 7 juillet que la cinquième édition du forum sur le partenariat tuniso-chinois démarre ses travaux. Rendez-vous important et très attendu, il vient concrétiser l’un des objectifs de l’ambitieux programme chinois, baptisé sous le nom évocateur de « la Route de la soie ».
Projet, il est aisé de l’avouer, titanesque qui concerne plus de 68 pays de par le monde, soit un total de 4,4 milliards d’habitants et 40% du produit intérieur brut mondial. Rappelons que les fondements de ce projet colossal ont été posés en2013, et ce, dans l’ambition de créer une coopération planétaire en matière de partenariat économique. Et c’est dans cet esprit-là que l’évocation de l’enseigne « Routes de la soie » a été évoquée.
Référence symbolique qui se prédestine à tenter la réconciliation avec le passé en ressuscitant, du moins au niveau de la démarche, l’ancienne « Route de la soie » pour créer un grand réseau de correspondances et de voies commerciales, lequel réseau avait permis par le passé à l’Empire du milieu de commercer avec l’Europe, via l’Asie Centrale.
La symbolique dans l’approche inaugurée par la Chine depuis 2013 est on ne peut plus claire d’où l’organisation un peu partout à travers le monde, de conclaves et de rencontres visant à créer et relancer la coopération économique avec les pays concernés.
La Tunisie, de par sa situation géographique, sa proximité avec l’Europe et les opportunités qu’elle représente, est un des maillons – prometteurs – de ce vaste réseau de coopération interétatique.
Pour l’actuelle édition du forum, les idées maîtresses s’inscrivent dans le cadre incitatif de la coopération tuniso-chinoise. L’élan pris en vue de ces assises est assez particulier. Et pour cause. De nombreuses personnalités de la sphère économique nationale et internationale ont été conviées et des communication d’envergure et de grande portée scientifique sont prévues.
L’Institut Arabe des Chefs d’Entreprise (IACE), cheville ouvrière de cette plate-forme d’envergure, assure l’organisation et l’encadrement de ce forum. Les travaux de cette journée qui aura lieu au siège de l’IACE, sur les berges du lac, se dérouleront en présence du Chef du Gouvernement et de nombreux ministres.
Trois sessions sont au programme. La première s’attachera à faire un vaste état des lieux de la balance commerciale et surtout à déterminer le profil légitimant le choix de la thématique du partenariat avec la Chine et ses perspectives quant à l’avenir. La seconde s’intéressera à déterminer les secteurs potentiels pour lesquels ce partenariat peut être d’un apport avantageux.
La troisième, enfin, abordera l’aspect de la logistique à favoriser et le recensement des outils nécessaires à cette vaste opération consistant essentiellement dans la détermination d’une stratégie d’intégration idoine.
Le forum peut être considéré, à partir de cette approche, et ses objectifs institutionnels comme une excellente opportunité visant à bien ancrer l’ambition réciproque d’asseoir un partenariat tuniso-chinois prometteur.
La Tunisie a besoin de cette ouverture économique dont les retombées positives ne se feront pas attendre. Tous les atouts sont réunis, à savoir la position géographique entre l’Europe, la Méditerranée et l’Afrique, pour faire de la Tunisie un carrefour d’échanges. Tout cela multiplié et encouragé par la puissance chinoise
Référence symbolique qui se prédestine à tenter la réconciliation avec le passé en ressuscitant, du moins au niveau de la démarche, l’ancienne « Route de la soie » pour créer un grand réseau de correspondances et de voies commerciales, lequel réseau avait permis par le passé à l’Empire du milieu de commercer avec l’Europe, via l’Asie Centrale.
La symbolique dans l’approche inaugurée par la Chine depuis 2013 est on ne peut plus claire d’où l’organisation un peu partout à travers le monde, de conclaves et de rencontres visant à créer et relancer la coopération économique avec les pays concernés.
La Tunisie, de par sa situation géographique, sa proximité avec l’Europe et les opportunités qu’elle représente, est un des maillons – prometteurs – de ce vaste réseau de coopération interétatique.
Pour l’actuelle édition du forum, les idées maîtresses s’inscrivent dans le cadre incitatif de la coopération tuniso-chinoise. L’élan pris en vue de ces assises est assez particulier. Et pour cause. De nombreuses personnalités de la sphère économique nationale et internationale ont été conviées et des communication d’envergure et de grande portée scientifique sont prévues.
L’Institut Arabe des Chefs d’Entreprise (IACE), cheville ouvrière de cette plate-forme d’envergure, assure l’organisation et l’encadrement de ce forum. Les travaux de cette journée qui aura lieu au siège de l’IACE, sur les berges du lac, se dérouleront en présence du Chef du Gouvernement et de nombreux ministres.
Trois sessions sont au programme. La première s’attachera à faire un vaste état des lieux de la balance commerciale et surtout à déterminer le profil légitimant le choix de la thématique du partenariat avec la Chine et ses perspectives quant à l’avenir. La seconde s’intéressera à déterminer les secteurs potentiels pour lesquels ce partenariat peut être d’un apport avantageux.
La troisième, enfin, abordera l’aspect de la logistique à favoriser et le recensement des outils nécessaires à cette vaste opération consistant essentiellement dans la détermination d’une stratégie d’intégration idoine.
Le forum peut être considéré, à partir de cette approche, et ses objectifs institutionnels comme une excellente opportunité visant à bien ancrer l’ambition réciproque d’asseoir un partenariat tuniso-chinois prometteur.
La Tunisie a besoin de cette ouverture économique dont les retombées positives ne se feront pas attendre. Tous les atouts sont réunis, à savoir la position géographique entre l’Europe, la Méditerranée et l’Afrique, pour faire de la Tunisie un carrefour d’échanges. Tout cela multiplié et encouragé par la puissance chinoise
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