Le 6è forum de coopération Afrique-Chine (FOCAC) se tient à Johannesburg, en Afrique du Sud du 4 au 5 décembre 2015. La Chine qui appelle à une version actualisée de la coopération sino-africaine présentera dix axes prioritaires, l’Afrique qui tire profit de ce partenariat gagnant-gagnant s’offrira une autre opportunité pour son développement.
La Chine veut imprimer une nouvelle version de coopération avec le continent noir, celle qui soit plus élargie et plus avantageuse pour les deux parties. Pour ce faire, elle va à Johannesburg avec quatre principes généraux en tête : traiter l'un et l'autre avec sincérité et d'égal à égal ; consolider la solidarité et la confiance mutuelles ; oeuvrer conjointement pour le développement inclusif ; promouvoir l'innovation de la coopération pratique. De ces principes découlent dix nouveaux axes majeurs sur lesquels la Chine entend s’investir.
Premièrement, la Chine veut d’une coopération plus complète avec l’Afrique. Peu importe les changements qui peuvent intervenir dans le paysage international, elle continuera à soutenir et à promouvoir les efforts du continent noir pour parvenir à la paix, la stabilité, la prospérité et le développement, la force par l’unité et la participation aux affaires internationales sur un pied d’égalité. La Chine attache une grande importance au développement des relations amicales avec tous les pays africains. Elle les traite de manière égale et met activement en œuvre une coopération pragmatique mutuellement bénéfique et gagnant-gagnant.
En deuxième position vient «l’esprit pionnier». Les relations entre la Chine et l’Afrique sont caractérisées par la sincérité, l’amitié, le respect mutuel, l’égalité, le bénéfice mutuel et le développement commun. La Chine pense que pour maintenir un développement vigoureux de leurs relations, les deux parties doivent être en phase avec leur époque et aller de l’avant dans un esprit pionnier novateur. Depuis plus d’un demi-siècle, la Chine et l’Afrique ont toujours adopté une perspective à long terme pour trouver de nouveaux domaines de croissance commune. Cet «esprit pionnier» pour rechercher des solutions à différents types de problèmes est essentiel pour renforcer la coopération sino-africaine.
Troisièmement, la Chine développe ses relations avec l’Afrique dans le cadre d’un principe de vérité, de praticité, d’amitié et de sincérité. Dans le nouvel environnement, les relations sino-africaines sont devenues plus importantes avec de plus grands intérêts communs. La Chine s’engage à intensifier (et non à affaiblir) ses efforts visant à élargir ses relations avec l’Afrique. Les Chinois continueront à traiter leurs amis africains avec vérité, à coopérer avec eux par des moyens pratiques, à renforcer les relations sino-africaines avec amitié et résoudre les problèmes avec sincérité.
Quatrièmement, «le rêve chinois et le rêve africain». L’amitié traditionnelle et les anciennes relations d’intérêts étroits ne sont pas les seules raisons qui lient la Chine et l’Afrique. Il en est de même pour «le rêve chinois et le rêve africain». Le peuple chinois travaille pour réaliser le rêve chinois du grand renouveau national, tandis que les peuples africains se sont engagés vers le rêve africain, celui de gagner en puissance par l’unité et parvenir au développement et au rajustement. La Chine souhaite que les peuples chinois et africains soient davantage unis, qu’ils coopèrent et se soutiennent mutuellement pour concrétiser leurs rêves.
Le cinquième axe consiste à conjuguer le développement des relations sino-africaines au «présent progressif» et jamais au «passé composé». La Chine veut être un gardien indéfectible de la paix et de la stabilité de l’Afrique ; un promoteur sûr de la prospérité et du développement de l’Afrique ; un partisan inébranlable dans la poursuite par l’Afrique de la force de l’union ; un ardent défenseur de l’Afrique dans ses efforts visant à obtenir une participation égale dans les affaires internationales.
Le sixième axe porte sur «les échanges de peuple à peuple», qui sont un pilier important pour les relations bilatérales. En effet, l’amitié sino-africaine est profondément enracinée dans leurs peuples. La Chine pense que seule la participation active du public peut permettre à l’amitié sino-africaine de maintenir sa vigueur et à la coopération bilatérale d’être consolidée.
L’apport de la coopération sino-africaine dans le développement et le renouveau de l’Afrique constitue le septième axe prioritaire. La Chine et l’Afrique constituent une grande famille, qui est passée par vents et marées ensemble. Au cours de leur lutte pour l’indépendance et leur libération, de leur voyage vers la paix et le développement, le peuple chinois et les peuples africains se sont toujours soutenus, forgeant ainsi une fraternité avec un destin commun. La Chine soutient fermement la poursuite de la force par l’union de l’Afrique et son processus d’intégration. La coopération sino-africaine doit injecter une énergie positive dans le développement et le renouveau de l’Afrique.
La Chine défend une vision correcte de la morale et des intérêts dans sa coopération avec l’Afrique l'Afrique et continuera à aider les pays africains. Tel est le huitième axe préconisé par ce grand pays. L’union et la coopération avec les pays africains sont l’une des pierres angulaires primaires de la politique étrangère de la Chine. La Chine n’entend pas changer sa position. Bien au contraire. Dans sa coopération avec l'Afrique, elle préconise une vision correcte de la morale et des intérêts. Elle garde à l’esprit le principe selon lequel «apprendre à pêcher à quelqu’un est mieux que lui donner du poisson».
Le neuvième axe porte sur le soutien de la Chine à une plus grande représentation et une plus grande voix des pays africains dans le système de gouvernance internationale. Le pays de Xi Jinging continuera à se tenir aux côtés des pays en développement. Le vote de la Chine dans l’Organisation des Nations Unies appartiendra toujours aux pays en développement.
L’unité et de la coopération avec les pays africains ont toujours été placées au centre de la politique étrangère de la Chine : c’est le dixième axe. Le FOCAC de Johannesburg constitue donc une occasion supplémentaire pour la Chine d’annoncer d’autres mesures en faveur de l’Afrique, qui en tirera profit.
Premièrement, la Chine veut d’une coopération plus complète avec l’Afrique. Peu importe les changements qui peuvent intervenir dans le paysage international, elle continuera à soutenir et à promouvoir les efforts du continent noir pour parvenir à la paix, la stabilité, la prospérité et le développement, la force par l’unité et la participation aux affaires internationales sur un pied d’égalité. La Chine attache une grande importance au développement des relations amicales avec tous les pays africains. Elle les traite de manière égale et met activement en œuvre une coopération pragmatique mutuellement bénéfique et gagnant-gagnant.
En deuxième position vient «l’esprit pionnier». Les relations entre la Chine et l’Afrique sont caractérisées par la sincérité, l’amitié, le respect mutuel, l’égalité, le bénéfice mutuel et le développement commun. La Chine pense que pour maintenir un développement vigoureux de leurs relations, les deux parties doivent être en phase avec leur époque et aller de l’avant dans un esprit pionnier novateur. Depuis plus d’un demi-siècle, la Chine et l’Afrique ont toujours adopté une perspective à long terme pour trouver de nouveaux domaines de croissance commune. Cet «esprit pionnier» pour rechercher des solutions à différents types de problèmes est essentiel pour renforcer la coopération sino-africaine.
Troisièmement, la Chine développe ses relations avec l’Afrique dans le cadre d’un principe de vérité, de praticité, d’amitié et de sincérité. Dans le nouvel environnement, les relations sino-africaines sont devenues plus importantes avec de plus grands intérêts communs. La Chine s’engage à intensifier (et non à affaiblir) ses efforts visant à élargir ses relations avec l’Afrique. Les Chinois continueront à traiter leurs amis africains avec vérité, à coopérer avec eux par des moyens pratiques, à renforcer les relations sino-africaines avec amitié et résoudre les problèmes avec sincérité.
Quatrièmement, «le rêve chinois et le rêve africain». L’amitié traditionnelle et les anciennes relations d’intérêts étroits ne sont pas les seules raisons qui lient la Chine et l’Afrique. Il en est de même pour «le rêve chinois et le rêve africain». Le peuple chinois travaille pour réaliser le rêve chinois du grand renouveau national, tandis que les peuples africains se sont engagés vers le rêve africain, celui de gagner en puissance par l’unité et parvenir au développement et au rajustement. La Chine souhaite que les peuples chinois et africains soient davantage unis, qu’ils coopèrent et se soutiennent mutuellement pour concrétiser leurs rêves.
Le cinquième axe consiste à conjuguer le développement des relations sino-africaines au «présent progressif» et jamais au «passé composé». La Chine veut être un gardien indéfectible de la paix et de la stabilité de l’Afrique ; un promoteur sûr de la prospérité et du développement de l’Afrique ; un partisan inébranlable dans la poursuite par l’Afrique de la force de l’union ; un ardent défenseur de l’Afrique dans ses efforts visant à obtenir une participation égale dans les affaires internationales.
Le sixième axe porte sur «les échanges de peuple à peuple», qui sont un pilier important pour les relations bilatérales. En effet, l’amitié sino-africaine est profondément enracinée dans leurs peuples. La Chine pense que seule la participation active du public peut permettre à l’amitié sino-africaine de maintenir sa vigueur et à la coopération bilatérale d’être consolidée.
L’apport de la coopération sino-africaine dans le développement et le renouveau de l’Afrique constitue le septième axe prioritaire. La Chine et l’Afrique constituent une grande famille, qui est passée par vents et marées ensemble. Au cours de leur lutte pour l’indépendance et leur libération, de leur voyage vers la paix et le développement, le peuple chinois et les peuples africains se sont toujours soutenus, forgeant ainsi une fraternité avec un destin commun. La Chine soutient fermement la poursuite de la force par l’union de l’Afrique et son processus d’intégration. La coopération sino-africaine doit injecter une énergie positive dans le développement et le renouveau de l’Afrique.
La Chine défend une vision correcte de la morale et des intérêts dans sa coopération avec l’Afrique l'Afrique et continuera à aider les pays africains. Tel est le huitième axe préconisé par ce grand pays. L’union et la coopération avec les pays africains sont l’une des pierres angulaires primaires de la politique étrangère de la Chine. La Chine n’entend pas changer sa position. Bien au contraire. Dans sa coopération avec l'Afrique, elle préconise une vision correcte de la morale et des intérêts. Elle garde à l’esprit le principe selon lequel «apprendre à pêcher à quelqu’un est mieux que lui donner du poisson».
Le neuvième axe porte sur le soutien de la Chine à une plus grande représentation et une plus grande voix des pays africains dans le système de gouvernance internationale. Le pays de Xi Jinging continuera à se tenir aux côtés des pays en développement. Le vote de la Chine dans l’Organisation des Nations Unies appartiendra toujours aux pays en développement.
L’unité et de la coopération avec les pays africains ont toujours été placées au centre de la politique étrangère de la Chine : c’est le dixième axe. Le FOCAC de Johannesburg constitue donc une occasion supplémentaire pour la Chine d’annoncer d’autres mesures en faveur de l’Afrique, qui en tirera profit.
Valère Lékoumou (Cap2016.Club)
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