Première puissance économique du monde, comme il y a trois siècles; pays le plus peuplé de la planète (1,357 milliard d’habitants) pour quelque temps encore ; troisième territoire mondial (9.596.961 km²) derrière la Russie et le Canada, juste un peu devant les Etats-Unis, la Chine est, par excellence, « l’Empire du milieu » parce qu’au milieu du continent asiatique qui comprend plus de la moitié de la population mondiale (7,2 milliards d’habitants).
Ce qui fait de la Chine, la plus grande puissance régionale du monde. Les ‘’trente glorieuses’’ économiques, depuis les premières réformes de 1978-1979, avec une croissance annuelle autour de deux chiffres (10%) à une échelle XXL et pendant une durée exceptionnelle, en ont fait le centre et le vainqueur de la mondialisation économique.
Dans un monde devenu multipolaire (pays avancés-pays émergents-nouveaux pays émergents), il y a encore place pour d’autres mondes: l’Afrique, l’Amérique latine, l’Europe de l’est, le Sud-est asiatique etc.
Précisément, l’historien et l’économiste peuvent, sans difficulté, relever deux faits fondamentaux de la ‘’ChinAfrica’’: l’ancienneté des liens entre la Chine et l’Afrique qui remonte au début de XVème siècle du temps de l’amiral Zheng He d’une part et d’autre part, la très contemporaine montée en puissance démographique, économique et géostratégique de l’Afrique.
Ce qui témoigne dans cette économie mondialisée et ses translations éventuelles, l’avenir d’une Afrique resituée au cœur du monde, à côté d’une Chine qui depuis toujours, est dans une culture de la transformation et non dans une culture d’objectif comme l’Occident. ‘’ChinAfrica’’, c’est l’Afrique, continent du rythme, qui ajoute à l’Asie, continent du signe par excellence. La Chine une et l’Afrique plurielle, s’inspirent, se nourrissent et se complètent harmonieusement.
En atteste, le centre de gravité de l’économie mondiale qui est en train de passer d’un monde sino-centré vers un monde afro-centré. Focus sur cette ‘’ChinAfrica’’ pour marquer l’antériorité des liaisons sino-africaines et revenir sur la présence chinoise en Afrique, selon qu’on est aussi sinophile ou sinophobe.
Sire SY, President Think Tank Africa WorldWide Group
siresy@gmail.com
Ce qui fait de la Chine, la plus grande puissance régionale du monde. Les ‘’trente glorieuses’’ économiques, depuis les premières réformes de 1978-1979, avec une croissance annuelle autour de deux chiffres (10%) à une échelle XXL et pendant une durée exceptionnelle, en ont fait le centre et le vainqueur de la mondialisation économique.
Dans un monde devenu multipolaire (pays avancés-pays émergents-nouveaux pays émergents), il y a encore place pour d’autres mondes: l’Afrique, l’Amérique latine, l’Europe de l’est, le Sud-est asiatique etc.
Précisément, l’historien et l’économiste peuvent, sans difficulté, relever deux faits fondamentaux de la ‘’ChinAfrica’’: l’ancienneté des liens entre la Chine et l’Afrique qui remonte au début de XVème siècle du temps de l’amiral Zheng He d’une part et d’autre part, la très contemporaine montée en puissance démographique, économique et géostratégique de l’Afrique.
Ce qui témoigne dans cette économie mondialisée et ses translations éventuelles, l’avenir d’une Afrique resituée au cœur du monde, à côté d’une Chine qui depuis toujours, est dans une culture de la transformation et non dans une culture d’objectif comme l’Occident. ‘’ChinAfrica’’, c’est l’Afrique, continent du rythme, qui ajoute à l’Asie, continent du signe par excellence. La Chine une et l’Afrique plurielle, s’inspirent, se nourrissent et se complètent harmonieusement.
En atteste, le centre de gravité de l’économie mondiale qui est en train de passer d’un monde sino-centré vers un monde afro-centré. Focus sur cette ‘’ChinAfrica’’ pour marquer l’antériorité des liaisons sino-africaines et revenir sur la présence chinoise en Afrique, selon qu’on est aussi sinophile ou sinophobe.
Sire SY, President Think Tank Africa WorldWide Group
siresy@gmail.com
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