Xinhua | 08.03.2017 13h56
À lire aussi :
- Chine-Mozambique : les organes législatifs conviennent de renforcer leurs relations
- Le ministre tchadien des AE juge "excellente" la coopération entre son pays et la Chine
- Le ministre chinois des Affaires étrangères achève sa tournée dans cinq pays africains et salue "les nouveaux changements" dans la coopération
La Chine n'affaiblira pas son soutien à l'Afrique, quel que soit le développement de la situation internationale et de l'économie mondiale, a déclaré mercredi le ministre chinois des Affaires étrangères, Wang Yi.
La Chine et l'Afrique ont un avenir partagé et leur coopération ressemble à une aide mutuelle entre deux frères, a indiqué M. Wang lors d'une conférence de presse en marge de la cinquième session de la 12e Assemblée populaire nationale, l'organe législatif national, qui a débuté le 5 mars au Grand Palais du Peuple à Beijing.
La Chine a annoncé un soutien financier de 60 milliards de dollars à l'Afrique lors du sommet du Forum sur la coopération Chine-Afrique en décembre 2015 à Johannesburg en Afrique du Sud.
La Chine a dévoilé 10 plans majeurs pour renforcer la coopération avec l'Afrique lors du sommet. Les plans couvrent les domaines tels que l'industrialisation, la modernisation agricole, les infrastructures, les services financiers, le développement écologique, la facilitation du commerce et des investissements, la réduction de la pauvreté, le bien-être de la population, la santé publique, les échanges entre les peuples, la paix et la sécurité.
"La coopération sino-africaine est caractérisée par le fait que la Chine tient toujours ses promesses", a souligné M. Wang, ajoutant qu'à l'heure actuelle, environ la moitié des fonds promis ont été distribués ou fait l'objet de dispositions prises.
Les réalisations du sommet de Johannesburg sont mises en œuvre de façon prompte et globale, y compris les projets de chemins de fer en Ethiopie, à Djibouti et au Kenya, ainsi qu'une zone économique spéciale en République du Congo, un projet de développement portuaire intégré en Tanzanie et de nombreux parcs industriels en Afrique.
Afin de répondre aux besoins de l'Afrique, trois changements vont être opérés dans la coopération sino-africaine, à savoir le passage d'une coopération menée par le gouvernement vers une coopération conduite par le marché, d'un commerce de marchandises vers une coopération sur la capacité de production, et des contrats d'ingénierie vers l'investissement et les opérations en capitaux.
"Ces changements fourniront un nouvel élan et de nouvelles opportunités au développement durable de l'Afrique", a-t-il affirmé.
"Nous devons accélérer le travail et entreprendre davantage de projets de coopération", a noté M. Wang.
La Chine a été l'ami le plus sincère de l'Afrique dans sa quête de l'indépendance et la libération nationales, et elle sera également son partenaire le plus fiable dans l'accélération de l'industrialisation et de la modernisation agricole, en promouvant sa capacité pour se développer par soi-même, a ajouté M. Wang.
De janvier à octobre 2016, les investissements directs des entreprises chinoises en Afrique ont augmenté de 31% pour dépasser 2,5 milliards de dollars, illustrent leur ferme confiance dans le développement du continent.
La Chine et l'Afrique ont un avenir partagé et leur coopération ressemble à une aide mutuelle entre deux frères, a indiqué M. Wang lors d'une conférence de presse en marge de la cinquième session de la 12e Assemblée populaire nationale, l'organe législatif national, qui a débuté le 5 mars au Grand Palais du Peuple à Beijing.
La Chine a annoncé un soutien financier de 60 milliards de dollars à l'Afrique lors du sommet du Forum sur la coopération Chine-Afrique en décembre 2015 à Johannesburg en Afrique du Sud.
La Chine a dévoilé 10 plans majeurs pour renforcer la coopération avec l'Afrique lors du sommet. Les plans couvrent les domaines tels que l'industrialisation, la modernisation agricole, les infrastructures, les services financiers, le développement écologique, la facilitation du commerce et des investissements, la réduction de la pauvreté, le bien-être de la population, la santé publique, les échanges entre les peuples, la paix et la sécurité.
"La coopération sino-africaine est caractérisée par le fait que la Chine tient toujours ses promesses", a souligné M. Wang, ajoutant qu'à l'heure actuelle, environ la moitié des fonds promis ont été distribués ou fait l'objet de dispositions prises.
Les réalisations du sommet de Johannesburg sont mises en œuvre de façon prompte et globale, y compris les projets de chemins de fer en Ethiopie, à Djibouti et au Kenya, ainsi qu'une zone économique spéciale en République du Congo, un projet de développement portuaire intégré en Tanzanie et de nombreux parcs industriels en Afrique.
Afin de répondre aux besoins de l'Afrique, trois changements vont être opérés dans la coopération sino-africaine, à savoir le passage d'une coopération menée par le gouvernement vers une coopération conduite par le marché, d'un commerce de marchandises vers une coopération sur la capacité de production, et des contrats d'ingénierie vers l'investissement et les opérations en capitaux.
"Ces changements fourniront un nouvel élan et de nouvelles opportunités au développement durable de l'Afrique", a-t-il affirmé.
"Nous devons accélérer le travail et entreprendre davantage de projets de coopération", a noté M. Wang.
La Chine a été l'ami le plus sincère de l'Afrique dans sa quête de l'indépendance et la libération nationales, et elle sera également son partenaire le plus fiable dans l'accélération de l'industrialisation et de la modernisation agricole, en promouvant sa capacité pour se développer par soi-même, a ajouté M. Wang.
De janvier à octobre 2016, les investissements directs des entreprises chinoises en Afrique ont augmenté de 31% pour dépasser 2,5 milliards de dollars, illustrent leur ferme confiance dans le développement du continent.
(Rédacteurs :Yishuang Liu, Wei SHAN
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire