les leçons de DSK sur la Chine
Lors du Forum Togo-UE 2019, DSK a fait savoir que la présence de la Chine sur le marché africain a changé la donne du développement.
Dominique Strauss-Kahn, DSK, ancien directeur général du FMI s’exprimait lors d’une table ronde de haut niveau à l’occasion du premier Forum économique Togo-Union européenne, (Forum Togo-UE 2019), tenu à Lomé, la capitale togolaise.
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En plus, Dominique Strauss-Kahn a rappelé que des problèmes structurels demeuraient en Afrique et que sur le plan des financements, qu’il présente comme un problème structurel « classique », « le niveau d’investissements africains reste faible, parce que l’épargne reste faible ».
Dans son discours d’ouverture jeudi, le président togolais Faure Gnassingbé a appelé les partenaires à une « véritable réflexion dans le sens d’une meilleure compréhension » des contextes locaux en Afrique.
DSK au Forum Togo-UE 2019
La présence de la Chine sur le marché africain « a augmenté la demande et a multiplié les partenaires auxquels les Africains peuvent s’adresser, et donc la relation même de la croissance et du développement que l’Afrique peut avoir n’est plus la même que celle qu’on pouvait connaître lorsque la relation restait très bilatérale avec les pays européens et un peu avec les Etats-Unis », a jouté DSK.LIRE AUSSI: Le taux de réussite au Bepc à la Une de la presse béninoise du 14 juin 2019
En plus, Dominique Strauss-Kahn a rappelé que des problèmes structurels demeuraient en Afrique et que sur le plan des financements, qu’il présente comme un problème structurel « classique », « le niveau d’investissements africains reste faible, parce que l’épargne reste faible ».
« Bâtir des relations économiques durables et pérennes entre le Togo et l’UE »Sous le thème « Bâtir des relations économiques durables et pérennes entre le Togo et l’UE », ce forum économique vise à drainer les investissements européens vers le Togo. Ce dernier recherche auprès du secteur privé 65% des financements de son Plan national de développement (PND 2018-2022) dont le coût global est estimé à 8,3 milliards de dollars.
Dans son discours d’ouverture jeudi, le président togolais Faure Gnassingbé a appelé les partenaires à une « véritable réflexion dans le sens d’une meilleure compréhension » des contextes locaux en Afrique.
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