CHINE AFRIQUE
POUR DES RELATIONS RESPECTUEUSES, AMICALES, FRANCHES ET FRATERNELLES
lundi 22 juillet 2013
vendredi 5 juillet 2013
allAfrica.com: Afrique: La rivalité sino-américaine en Afrique, évoquée lors de la visite d'Obama
La visite de Barack Obama en Tanzanie a été l'occasion pour le président américain d'évoquer le rôle croissant de la Chine à travers le continent.
allAfrica.com: Afrique: La rivalité sino-américaine en Afrique, évoquée lors de la visite d'Obama
Pékin et Washington ont une approche très différente de l'aide et des investissements. Lors de sa visite en Tanzanie en mars 2013, le président chinois, Xi Jinping, a souligné que son pays sera toujours prêt à offrir de l'aide sans conditions politiques.
Par contre, les investissements publics américains restent fréquemment liés à des réformes économiques et politiques. Ce que défendent d'ailleurs nombre d'Africains, dont Rehema Twalib, haut responsable du Mécanisme africain d'évaluation par les pairs (MAEP).
« La bonne gouvernance est un ingrédient positif pour le développement, comme on l'a constaté. Si vous avez des politiques transparentes, vos citoyens participent à des programmes dont ils se sentent responsables, et c'est bien. Si vous avez des politiques prévisibles, c'est bon pour les investisseurs », explique Mme Twalib.
L'escale de Barack Obama en Tanzanie, intervenant environ 3 mois après celle de son homologue chinois, s'explique, entre autre, du fait des découvertes récentes de gisements de gaz colossaux au large des côtes tanzaniennes. Les géants du pétrole américains s'y intéressent, de toute évidence.
Néanmoins, la croissance dans ce secteur se traduit rarement par la création d'emplois ou une nette amélioration du niveau de vie des habitants. Les entreprises tanzaniennes souhaiteraient que les nouveaux investissements aboutissent enfin à un transfert de compétences et de connaissances, explique le président de la Chambre de commerce des Etats-Unis en Tanzanie, Bhakti Shah.
« Quand vous regardez le gouvernement américain, il est le moteur du secteur privé, donc nous espérons qu'en ce qui concerne l'ensemble des connaissances intellectuelles du gouvernement américain, la Tanzanie en bénéficiera, apprendra comment avoir un secteur privé en plein essor », explique Mme Shah.
Les Etats-Unis minimisent leur rivalité avec la Chine pour l'accès aux marchés africains, mais sont à la traîne. La Chine chiffre son commerce avec le continent à quelques 200 milliards de dollars par an, ce qui représente environ deux fois plus que les Etats-Unis
jeudi 4 juillet 2013
Les investissements chinois stimulent le développement de l'Afrique
Les investissements chinois stimulent le développement de l'Afrique
Les investissements chinois stimulent le développement de l'Afrique
Les investissements chinois stimulent le développement de l'Afrique
French.china.org.cn | Mis à jour le 04. 07. 2013 | Mots clés : chine; Afrique;
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下载安装Flash播放器Le Rapport d'enquête 2013 sur l'attractivité de l'Afrique, publié par le cabinet d'audit financier Ernst & Young le 6 mai dernier, a informé que le continent africain attire aujourd'hui 5,6 % des IDE mondiaux, un taux qui n'était que de 3,2 % cinq ans auparavant. En 2012, en Afrique, les IDE en provenance des pays émergents ont dépassé ceux des pays développés. Ces investissements dynamisent fortement le développement africain : ils promeuvent la création d'emplois, l'approfondissement des compétences, la réduction de la pauvreté et l'élimination des inégalités. Par ce biais, la Chine contribue incontestablement à ces progrès.
Pouvoir d'attraction des IDE en forte hausse
Le Rapport d'enquête 2013 sur l'attractivité de l'Afrique résulte d'une analyse du potentiel du marché africain conduite auprès de plus de 500 dirigeants d'entreprises originaires de 38 pays différents. L'étude a indiqué qu'au cours des cinq dernières années, les IDE en Afrique ont augmenté de 12,8 %. 86 % des chefs d'entreprises interrogés estiment que l'environnement commercial sur ce continent continuera de s'améliorer durant les trois prochaines années. Il s'agit de la deuxième région la plus attractive du monde, après l'Asie.
L'amélioration constante de l'environnement commercial et l'expansion continue des échanges et des investissements ont contribué à la croissance économique de l'Afrique. L'enquête révèle que depuis 2000, le PIB de l'Afrique subsaharienne a plus que quadruplé. « La croissance économique de l'Afrique est indéniable », a déclaré Ajen Sita, associé gérant de Ernst & Young, qui s'attend à ce que celle-ci s'intensifie encore dans les dix à vingt prochaines années.
Toujours selon le rapport, ces cinq dernières années ont vu les IDE, d'habitude cantonnés aux secteurs des ressources et de l'énergie, s'étendre aux domaines des services, de l'industrie manufacturière et de la construction d'infrastructures. Les services comptent pour 70 % des projets d'investissements directs étrangers ; 73,5 % des IDE sont destinés aux infrastructures et aux autorités compétentes. Ces cinq dernières années, les fonds privés de capital-investissement s'élevaient à près de 12 milliards de dollars. L'analyse signale que le retard infrastructurel de l'Afrique, l'un de ses plus grands défis en matière d'investissements, est déjà en passe d'être solutionné. En 2012, plus de 800 projets d'infrastructures étaient en cours d'exécution en Afrique subsaharienne, totalisant un montant de 700 milliards de dollars.
Le président nigérian en visite en Chine du 9 au 12 juillet | Fil info Monde - lesoir.be
Le président nigérian en visite en Chine du 9 au 12 juillet | Fil info Monde - lesoir.be
Le président nigérian Goodluck Jonathan se rendra en Chine du 9 au 12 juillet pour une visite centrée sur des projets d’infrastructures et le développement des relations commerciales entre la grande puissance d’Asie et le plus grand producteur de pétrole d’Afrique, a-t-on annoncé officiellement mercredi. Le Nigeria, pays le plus peuplé d’Afrique, a emprunté de l’argent à la Chine pour financer des projets d’infrastructures et Pékin a montré un intérêt croissant pour l’industrie pétrolière nigériane. Ce voyage vise « à développer le commerce, accroître les investissements (chinois) au Nigeria et mettre en place un partenariat à long terme », a indiqué à la presse la ministre nigériane des Finances Ngozi Okonjo-Iweala. « Nous voulons accroître le volume du commerce des produits non pétroliers, car nous voulons diversifier notre économie », a-t-elle ajouté.
Le président nigérian Goodluck Jonathan se rendra en Chine du 9 au 12 juillet pour une visite centrée sur des projets d’infrastructures et le développement des relations commerciales entre la grande puissance d’Asie et le plus grand producteur de pétrole d’Afrique, a-t-on annoncé officiellement mercredi. Le Nigeria, pays le plus peuplé d’Afrique, a emprunté de l’argent à la Chine pour financer des projets d’infrastructures et Pékin a montré un intérêt croissant pour l’industrie pétrolière nigériane. Ce voyage vise « à développer le commerce, accroître les investissements (chinois) au Nigeria et mettre en place un partenariat à long terme », a indiqué à la presse la ministre nigériane des Finances Ngozi Okonjo-Iweala. « Nous voulons accroître le volume du commerce des produits non pétroliers, car nous voulons diversifier notre économie », a-t-elle ajouté.
Les Etats-Unis saluent l'engagement de la Chine en Afrique - china radio international
Les Etats-Unis saluent l'engagement de la Chine en Afrique - china radio international
Les Etats-Unis ont salué mercredi l'implication de la Chine en Afrique, la qualifiant de partenariat avec le continent destiné à résoudre les problèmes de la région.
S'exprimant à Nairobi lors de la célébration du 236ème anniversaire de la journée de l'indépendance des Etats-Unis, l' ambassadeur des Etats-Unis au Kenya, Robert Godec, a déclaré que l' Afrique a une importance considérable pour le monde et que tous les pays sont encouragés à s'impliquer dans le continent. "L'Afrique a une importance considérable pour le monde. Tous les pays sont encouragés à s'impliquer pour devenir des partenaires et nous sommes rassurés de voir la Chine oeuvrer pour la prospérité en Afrique", a déclaré M. Godec lors de la cérémonie de célébration. "Tous les pays devraient s'engager de manière ouverte et transparente en Afrique afin d'accroître les investissements dans la région", a-t-il ajouté. La Chine est devenue le principal partenaire commercial de l' Afrique en 2009, avec un volume total d'échanges de 198,5 milliards de dollars en 2012 qui devrait dépasser 380 milliards de dollars d'ici 2015. Le président américain Obama a conclu mardi son voyage d'une semaine en Afrique. Il a promis 7 milliards de dollars pour lutter contre les coupures d'électricité en Afrique subsaharienne. Pour plusieurs spécialistes africains, la visite du président américain visait surtout à contrer la présence croissance de la Chine en Afrique. M. Obama a indiqué lors d'une conférence en Afrique du Sud que l'engagement croissant de la Chine profite à tous et qu'il ne se sent pas menacé par cet engagement.
Les Etats-Unis ont salué mercredi l'implication de la Chine en Afrique, la qualifiant de partenariat avec le continent destiné à résoudre les problèmes de la région.
S'exprimant à Nairobi lors de la célébration du 236ème anniversaire de la journée de l'indépendance des Etats-Unis, l' ambassadeur des Etats-Unis au Kenya, Robert Godec, a déclaré que l' Afrique a une importance considérable pour le monde et que tous les pays sont encouragés à s'impliquer dans le continent. "L'Afrique a une importance considérable pour le monde. Tous les pays sont encouragés à s'impliquer pour devenir des partenaires et nous sommes rassurés de voir la Chine oeuvrer pour la prospérité en Afrique", a déclaré M. Godec lors de la cérémonie de célébration. "Tous les pays devraient s'engager de manière ouverte et transparente en Afrique afin d'accroître les investissements dans la région", a-t-il ajouté. La Chine est devenue le principal partenaire commercial de l' Afrique en 2009, avec un volume total d'échanges de 198,5 milliards de dollars en 2012 qui devrait dépasser 380 milliards de dollars d'ici 2015. Le président américain Obama a conclu mardi son voyage d'une semaine en Afrique. Il a promis 7 milliards de dollars pour lutter contre les coupures d'électricité en Afrique subsaharienne. Pour plusieurs spécialistes africains, la visite du président américain visait surtout à contrer la présence croissance de la Chine en Afrique. M. Obama a indiqué lors d'une conférence en Afrique du Sud que l'engagement croissant de la Chine profite à tous et qu'il ne se sent pas menacé par cet engagement.
mercredi 3 juillet 2013
La rivalité sino-américaine en Afrique, évoquée lors de la visite d'Obama
La rivalité sino-américaine en Afrique, évoquée lors de la visite d'Obama
Le président chinois Xi Jinping (à dr.) a précédé de plusieurs mois Barack Obama en Tanzanie
La visite de Barack Obama en Tanzanie a été l’occasion pour le président américain d’évoquer le rôle croissant de la Chine à travers le continent.
Pékin et Washington ont une approche très différente de l'aide et des investissements. Lors de sa visite en Tanzanie en mars 2013, le président chinois, Xi Jinping, a souligné que son pays sera toujours prêt à offrir de l'aide sans conditions politiques. Par contre, les investissements publics américains restent fréquemment liés à des réformes économiques et politiques. Ce que défendent d’ailleurs nombre d’Africains, dont Rehema Twalib, haut responsable du Mécanisme africain d'évaluation par les pairs (MAEP).
« La bonne gouvernance est un ingrédient positif pour le développement, comme on l’a constaté. Si vous avez des politiques transparentes, vos citoyens participent à des programmes dont ils se sentent responsables, et c'est bien. Si vous avez des politiques prévisibles, c'est bon pour les investisseurs », explique Mme Twalib.
L'escale de Barack Obama en Tanzanie, intervenant environ 3 mois après celle de son homologue chinois, s’explique, entre autre, du fait des découvertes récentes de gisements de gaz colossaux au large des côtes tanzaniennes. Les géants du pétrole américains s’y intéressent, de toute évidence.
Néanmoins, la croissance dans ce secteur se traduit rarement par la création d’emplois ou une nette amélioration du niveau de vie des habitants. Les entreprises tanzaniennes souhaiteraient que les nouveaux investissements aboutissent enfin à un transfert de compétences et de connaissances, explique le président de la Chambre de commerce des Etats-Unis en Tanzanie, Bhakti Shah.
« Quand vous regardez le gouvernement américain, il est le moteur du secteur privé, donc nous espérons qu’en ce qui concerne l'ensemble des connaissances intellectuelles du gouvernement américain, la Tanzanie en bénéficiera, apprendra comment avoir un secteur privé en plein essor », explique Mme Shah.
Les Etats-Unis minimisent leur rivalité avec la Chine pour l'accès aux marchés africains, mais sont à la traîne. La Chine chiffre son commerce avec le continent à quelques 200 milliards de dollars par an, ce qui représente environ deux fois plus que les Etats-Unis.
Pékin et Washington ont une approche très différente de l'aide et des investissements. Lors de sa visite en Tanzanie en mars 2013, le président chinois, Xi Jinping, a souligné que son pays sera toujours prêt à offrir de l'aide sans conditions politiques. Par contre, les investissements publics américains restent fréquemment liés à des réformes économiques et politiques. Ce que défendent d’ailleurs nombre d’Africains, dont Rehema Twalib, haut responsable du Mécanisme africain d'évaluation par les pairs (MAEP).
« La bonne gouvernance est un ingrédient positif pour le développement, comme on l’a constaté. Si vous avez des politiques transparentes, vos citoyens participent à des programmes dont ils se sentent responsables, et c'est bien. Si vous avez des politiques prévisibles, c'est bon pour les investisseurs », explique Mme Twalib.
L'escale de Barack Obama en Tanzanie, intervenant environ 3 mois après celle de son homologue chinois, s’explique, entre autre, du fait des découvertes récentes de gisements de gaz colossaux au large des côtes tanzaniennes. Les géants du pétrole américains s’y intéressent, de toute évidence.
Néanmoins, la croissance dans ce secteur se traduit rarement par la création d’emplois ou une nette amélioration du niveau de vie des habitants. Les entreprises tanzaniennes souhaiteraient que les nouveaux investissements aboutissent enfin à un transfert de compétences et de connaissances, explique le président de la Chambre de commerce des Etats-Unis en Tanzanie, Bhakti Shah.
« Quand vous regardez le gouvernement américain, il est le moteur du secteur privé, donc nous espérons qu’en ce qui concerne l'ensemble des connaissances intellectuelles du gouvernement américain, la Tanzanie en bénéficiera, apprendra comment avoir un secteur privé en plein essor », explique Mme Shah.
Les Etats-Unis minimisent leur rivalité avec la Chine pour l'accès aux marchés africains, mais sont à la traîne. La Chine chiffre son commerce avec le continent à quelques 200 milliards de dollars par an, ce qui représente environ deux fois plus que les Etats-Unis.
mardi 2 juillet 2013
«Avantages et désavantages dans la relation Chine-Afrique»
«Avantages et désavantages dans la relation Chine-Afrique»
relation Chine-Afrique»
La spécialiste angolaise en sciences politiques, Constancia Kambol, a souligné, lundi, à Luanda, la nécessité des pays africains de tenir compte des avantages et inconvénients dans les relations avec la Chine.
S'adressant à la presse à l'issue du séminaire sous le thème "L'expansion de la Chine: avantages et désavantages", réalisé par la Faculté des Sciences Sociales, Constancia Kambol a indiqué que l'aspect positif avait trait à la façon dont ils travaillent, basée sur la culture entrepreneuriale, la remise des travaux dans les délais convenus et un fort engagement sur le marché africain, avec de gros investissements.
"Les Chinois apportent le développement. Ils sont toujours un partenaire à prendre en compte dans la construction d'infrastructures, parce qu'ils ont des technologies de construction innovantes, ainsi que la science et la technologie", a-t-elle ajouté.
En ce qui se réfère aux aspects négatifs, elle a souligné que les gouvernants devraient prendre en compte à la fois les aspects culturels et commerciaux.
"Les Chinois influencent les cultures des peuples en envoyant des boursiers en Chine, revenant après avec une autre mentalité et le mode de vie différent.
Également dans les communautés, ils introduisent leur culture, ce qui perturbe le mode de vie des peuples", a expliqué Constancia Kambol
relation Chine-Afrique»
La spécialiste angolaise en sciences politiques, Constancia Kambol, a souligné, lundi, à Luanda, la nécessité des pays africains de tenir compte des avantages et inconvénients dans les relations avec la Chine.
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La spécialiste angolaise en sciences politiques, Constancia Kambol, a souligné, lundi, à Luanda, la nécessité des pays africains de tenir compte des avantages et inconvénients dans les relations avec la Chine.
S'adressant à la presse à l'issue du séminaire sous le thème "L'expansion de la Chine: avantages et désavantages", réalisé par la Faculté des Sciences Sociales, Constancia Kambol a indiqué que l'aspect positif avait trait à la façon dont ils travaillent, basée sur la culture entrepreneuriale, la remise des travaux dans les délais convenus et un fort engagement sur le marché africain, avec de gros investissements.
"Les Chinois apportent le développement. Ils sont toujours un partenaire à prendre en compte dans la construction d'infrastructures, parce qu'ils ont des technologies de construction innovantes, ainsi que la science et la technologie", a-t-elle ajouté.
En ce qui se réfère aux aspects négatifs, elle a souligné que les gouvernants devraient prendre en compte à la fois les aspects culturels et commerciaux.
"Les Chinois influencent les cultures des peuples en envoyant des boursiers en Chine, revenant après avec une autre mentalité et le mode de vie différent.
Également dans les communautés, ils introduisent leur culture, ce qui perturbe le mode de vie des peuples", a expliqué Constancia Kambol
"La Chine est un bel exemple de développement économique et social",déclare un officiel ivoirien - china radio international
"La Chine est un bel exemple de développement économique et social",déclare un officiel ivoirien - china radio international
Le gouverneur du district d'Abidjan Beugré Mambé a indiqué dans une déclaration publiée lundi par des médias ivoiriens que la Chine est un bel exemple de développement économique, social et culturel.
M. Mambé qui avait pris part au deuxième forum sino-africain des gouvernements locaux en Chine en compagnie de plusieurs responsables locaux africains a indiqué que ce pays a surmonté toutes les difficultés, en moins de trois décennies, pour se hisser à une position de pivot mondial. "Le continent africain veut amorcer son développement à partir de l'exemple chinois. Nous souhaitons une coopération gagnant- gagnant qui permettra de consolider les liens entre nos deux grandes communautés", a-t-il indiqué. "La coopération sino-africaine doit être une nécessité, car la Chine est l'un des plus grands partenaires commerciaux de l'Afrique. Elle a réalisé des investissements dans plus de 50 pays. Elle est l'un des meilleurs catalyseurs de la croissance africaine ", a ajouté le gouverneur. La coopération et l'amitié entre la Côte d'Ivoire et la Chine se renforcent d'année en année depuis l'établissement des relations diplomatiques entre les deux pays en 1983. A plusieurs occasions, les autorités ivoiriennes ont affirmé que leur pays compte sur l'appui de ses partenaires et des pays amis pour booster son développement.
Le gouverneur du district d'Abidjan Beugré Mambé a indiqué dans une déclaration publiée lundi par des médias ivoiriens que la Chine est un bel exemple de développement économique, social et culturel.
M. Mambé qui avait pris part au deuxième forum sino-africain des gouvernements locaux en Chine en compagnie de plusieurs responsables locaux africains a indiqué que ce pays a surmonté toutes les difficultés, en moins de trois décennies, pour se hisser à une position de pivot mondial. "Le continent africain veut amorcer son développement à partir de l'exemple chinois. Nous souhaitons une coopération gagnant- gagnant qui permettra de consolider les liens entre nos deux grandes communautés", a-t-il indiqué. "La coopération sino-africaine doit être une nécessité, car la Chine est l'un des plus grands partenaires commerciaux de l'Afrique. Elle a réalisé des investissements dans plus de 50 pays. Elle est l'un des meilleurs catalyseurs de la croissance africaine ", a ajouté le gouverneur. La coopération et l'amitié entre la Côte d'Ivoire et la Chine se renforcent d'année en année depuis l'établissement des relations diplomatiques entre les deux pays en 1983. A plusieurs occasions, les autorités ivoiriennes ont affirmé que leur pays compte sur l'appui de ses partenaires et des pays amis pour booster son développement.
lundi 1 juillet 2013
Les Etats-Unis veulent investir en Afrique pour contrebalancer l'influence chinoise
Les Etats-Unis veulent investir en Afrique pour contrebalancer l'influence chinoise
En visite en Afrique du Sud, le président américain Barack Obama a prononcé le 30 juin à l'Université du Cap un discours sur la politique américaine envers l'Afrique. Il a notamment annoncé que les Etats-Unis vont investir 7 milliards de Dollars dans un projet de cinq ans destiné à faciliter l'accès des pays d'Afrique sub-saharienne à l'électricité. En outre, il a également annoncé qu'il invitait les chefs d'Etat de l'Afrique sub-saharienne à tenir un sommet à Washington l'année prochaine.
L'Afrique est favorable à une concurrence raisonnable
Depuis 2009, la Chine a dépassé les Etats-Unis pour devenir le plus grand partenaire commercial de l'Afrique. En 2012, le volume du commerce Chine-Afrique a atteint environ deux fois celui du commerce Etats-Unis-Afrique. Au sujet de la visite de Barack Obama en Afrique, les médias internationaux se sont livrés à une comparaison des relations américano-africaines et des relations sino-africaines. Barack Obama a mentionné à plusieurs reprises les investissements et les activités commerciales des États-Unis et de la Chine en Afrique. Le 30 juin, le quotidien sud-africain « Sunday Times » a publié une énorme photo de Barack Obama en première page, prise pendant son discours à l'Université de Johannesburg, avec au-dessus le titre « No worries, China » (Que la Chine ne s'inquiète pas). Selon l'article de l'agence de presse sud-africaine, les Etats-Unis ont commencé à se rendre compte qu'ils sont petit à petit en train de se faire dépasser par la Chine en Afrique. De son côté, l'agence de presse rwandaise a souligné que quand Barack Obama insiste sur les opportunités d'affaires en Afrique, sur la soi-disant défense de la démocratie et les droits de l'homme, c'est en fait pour défendre les intérêts américains, parce que les Etats-Unis sont désireux de contrebalancer la présence chinoise en Afrique.
Un professeur à l'Université de Kinshasa, au Congo, a déclaré que les pays occidentaux, dont les Etats-Unis, n'ont jamais vraiment aidé les pays africains à parvenir au développement, mais que dans leur esprit la présence de la Chine en Afrique, qui n'est pas justifiée, est suspecte. Ce à quoi tient le plus l'Afrique d'aujourd'hui, c'est à l'industrialisation de ses pays, mais, dans le processus de développement de l'Afrique, les pays occidentaux ont mis en place tout une série de pièges, et cela n'a rien de bon pour l'Afrique.
Les pays africains acceptent volontiers que la Chine et les Etats-Unis entrent en concurrence en Afrique. Une concurrence raisonnable sera bénéfique au développement de règles du jeu plus claires, et elle sera propice au développement économique de l'Afrique et à l'amélioration des conditions de vie des populations locales.
Une volonté souvent impuissante à se concrétiser
Barack Obama a annoncé son intention d'investir 7 milliards de Dollars pour améliorer l'accès à l'électricité dans les pays d'Afrique subsaharienne, et de combattre la pauvreté et les maladies par le biais de programmes d'aide alimentaire et sanitaire en Afrique. Bien que beaucoup en Afrique se soient montrés critiques envers les Etats-Unis et ce qu'ils considèrent avant tout comme de « belles paroles pas toujours suivies d'effets », il n'en reste pas moins que ces annonces sont fortement chargées en symboles.
L'administration Obama est consciente depuis longtemps de la signification et de l'importance stratégiques de l'Afrique subsaharienne, mais ces dernières années, l'évolution de la situation stratégique globale où ont émergé de manière plus pressante de nombreux dossiers internationaux sensibles, a fait que la mise en œuvre par les États-Unis de leur politique en Afrique s'est trouvée prise dans un dilemme délicat. La visite de Barack Obama dans trois pays, un d'Afrique de l'Ouest, un d'Afrique australe et un d'Afrique de l'Est, vise à renforcer l'influence américaine sur le continent, mais ne pas être allé au Kenya, d'où viennent pourtant ses ancêtres, et d'autres décisions ont suscité des insatisfactions et des critiques. Cette volonté incapable d'être concrétisée va continuer à être le ventre mou de la politique américaine en Afrique.
Le Quotidien du Peuple (1er juillet 2013, 21 Edition)
En visite en Afrique du Sud, le président américain Barack Obama a prononcé le 30 juin à l'Université du Cap un discours sur la politique américaine envers l'Afrique. Il a notamment annoncé que les Etats-Unis vont investir 7 milliards de Dollars dans un projet de cinq ans destiné à faciliter l'accès des pays d'Afrique sub-saharienne à l'électricité. En outre, il a également annoncé qu'il invitait les chefs d'Etat de l'Afrique sub-saharienne à tenir un sommet à Washington l'année prochaine.
L'Afrique est favorable à une concurrence raisonnable
Depuis 2009, la Chine a dépassé les Etats-Unis pour devenir le plus grand partenaire commercial de l'Afrique. En 2012, le volume du commerce Chine-Afrique a atteint environ deux fois celui du commerce Etats-Unis-Afrique. Au sujet de la visite de Barack Obama en Afrique, les médias internationaux se sont livrés à une comparaison des relations américano-africaines et des relations sino-africaines. Barack Obama a mentionné à plusieurs reprises les investissements et les activités commerciales des États-Unis et de la Chine en Afrique. Le 30 juin, le quotidien sud-africain « Sunday Times » a publié une énorme photo de Barack Obama en première page, prise pendant son discours à l'Université de Johannesburg, avec au-dessus le titre « No worries, China » (Que la Chine ne s'inquiète pas). Selon l'article de l'agence de presse sud-africaine, les Etats-Unis ont commencé à se rendre compte qu'ils sont petit à petit en train de se faire dépasser par la Chine en Afrique. De son côté, l'agence de presse rwandaise a souligné que quand Barack Obama insiste sur les opportunités d'affaires en Afrique, sur la soi-disant défense de la démocratie et les droits de l'homme, c'est en fait pour défendre les intérêts américains, parce que les Etats-Unis sont désireux de contrebalancer la présence chinoise en Afrique.
Un professeur à l'Université de Kinshasa, au Congo, a déclaré que les pays occidentaux, dont les Etats-Unis, n'ont jamais vraiment aidé les pays africains à parvenir au développement, mais que dans leur esprit la présence de la Chine en Afrique, qui n'est pas justifiée, est suspecte. Ce à quoi tient le plus l'Afrique d'aujourd'hui, c'est à l'industrialisation de ses pays, mais, dans le processus de développement de l'Afrique, les pays occidentaux ont mis en place tout une série de pièges, et cela n'a rien de bon pour l'Afrique.
Les pays africains acceptent volontiers que la Chine et les Etats-Unis entrent en concurrence en Afrique. Une concurrence raisonnable sera bénéfique au développement de règles du jeu plus claires, et elle sera propice au développement économique de l'Afrique et à l'amélioration des conditions de vie des populations locales.
Une volonté souvent impuissante à se concrétiser
Barack Obama a annoncé son intention d'investir 7 milliards de Dollars pour améliorer l'accès à l'électricité dans les pays d'Afrique subsaharienne, et de combattre la pauvreté et les maladies par le biais de programmes d'aide alimentaire et sanitaire en Afrique. Bien que beaucoup en Afrique se soient montrés critiques envers les Etats-Unis et ce qu'ils considèrent avant tout comme de « belles paroles pas toujours suivies d'effets », il n'en reste pas moins que ces annonces sont fortement chargées en symboles.
L'administration Obama est consciente depuis longtemps de la signification et de l'importance stratégiques de l'Afrique subsaharienne, mais ces dernières années, l'évolution de la situation stratégique globale où ont émergé de manière plus pressante de nombreux dossiers internationaux sensibles, a fait que la mise en œuvre par les États-Unis de leur politique en Afrique s'est trouvée prise dans un dilemme délicat. La visite de Barack Obama dans trois pays, un d'Afrique de l'Ouest, un d'Afrique australe et un d'Afrique de l'Est, vise à renforcer l'influence américaine sur le continent, mais ne pas être allé au Kenya, d'où viennent pourtant ses ancêtres, et d'autres décisions ont suscité des insatisfactions et des critiques. Cette volonté incapable d'être concrétisée va continuer à être le ventre mou de la politique américaine en Afrique.
Le Quotidien du Peuple (1er juillet 2013, 21 Edition)
Les Etats-Unis veulent investir en Afrique pour contrebalancer l'influence chinoise
Les Etats-Unis veulent investir en Afrique pour contrebalancer l'influence chinoise
En visite en Afrique du Sud, le président américain Barack Obama a prononcé le 30 juin à l'Université du Cap un discours sur la politique américaine envers l'Afrique. Il a notamment annoncé que les Etats-Unis vont investir 7 milliards de Dollars dans un projet de cinq ans destiné à faciliter l'accès des pays d'Afrique sub-saharienne à l'électricité. En outre, il a également annoncé qu'il invitait les chefs d'Etat de l'Afrique sub-saharienne à tenir un sommet à Washington l'année prochaine.
L'Afrique est favorable à une concurrence raisonnable
Depuis 2009, la Chine a dépassé les Etats-Unis pour devenir le plus grand partenaire commercial de l'Afrique. En 2012, le volume du commerce Chine-Afrique a atteint environ deux fois celui du commerce Etats-Unis-Afrique. Au sujet de la visite de Barack Obama en Afrique, les médias internationaux se sont livrés à une comparaison des relations américano-africaines et des relations sino-africaines. Barack Obama a mentionné à plusieurs reprises les investissements et les activités commerciales des États-Unis et de la Chine en Afrique. Le 30 juin, le quotidien sud-africain « Sunday Times » a publié une énorme photo de Barack Obama en première page, prise pendant son discours à l'Université de Johannesburg, avec au-dessus le titre « No worries, China » (Que la Chine ne s'inquiète pas). Selon l'article de l'agence de presse sud-africaine, les Etats-Unis ont commencé à se rendre compte qu'ils sont petit à petit en train de se faire dépasser par la Chine en Afrique. De son côté, l'agence de presse rwandaise a souligné que quand Barack Obama insiste sur les opportunités d'affaires en Afrique, sur la soi-disant défense de la démocratie et les droits de l'homme, c'est en fait pour défendre les intérêts américains, parce que les Etats-Unis sont désireux de contrebalancer la présence chinoise en Afrique.
Un professeur à l'Université de Kinshasa, au Congo, a déclaré que les pays occidentaux, dont les Etats-Unis, n'ont jamais vraiment aidé les pays africains à parvenir au développement, mais que dans leur esprit la présence de la Chine en Afrique, qui n'est pas justifiée, est suspecte. Ce à quoi tient le plus l'Afrique d'aujourd'hui, c'est à l'industrialisation de ses pays, mais, dans le processus de développement de l'Afrique, les pays occidentaux ont mis en place tout une série de pièges, et cela n'a rien de bon pour l'Afrique.
Les pays africains acceptent volontiers que la Chine et les Etats-Unis entrent en concurrence en Afrique. Une concurrence raisonnable sera bénéfique au développement de règles du jeu plus claires, et elle sera propice au développement économique de l'Afrique et à l'amélioration des conditions de vie des populations locales.
Une volonté souvent impuissante à se concrétiser
Barack Obama a annoncé son intention d'investir 7 milliards de Dollars pour améliorer l'accès à l'électricité dans les pays d'Afrique subsaharienne, et de combattre la pauvreté et les maladies par le biais de programmes d'aide alimentaire et sanitaire en Afrique. Bien que beaucoup en Afrique se soient montrés critiques envers les Etats-Unis et ce qu'ils considèrent avant tout comme de « belles paroles pas toujours suivies d'effets », il n'en reste pas moins que ces annonces sont fortement chargées en symboles.
L'administration Obama est consciente depuis longtemps de la signification et de l'importance stratégiques de l'Afrique subsaharienne, mais ces dernières années, l'évolution de la situation stratégique globale où ont émergé de manière plus pressante de nombreux dossiers internationaux sensibles, a fait que la mise en œuvre par les États-Unis de leur politique en Afrique s'est trouvée prise dans un dilemme délicat. La visite de Barack Obama dans trois pays, un d'Afrique de l'Ouest, un d'Afrique australe et un d'Afrique de l'Est, vise à renforcer l'influence américaine sur le continent, mais ne pas être allé au Kenya, d'où viennent pourtant ses ancêtres, et d'autres décisions ont suscité des insatisfactions et des critiques. Cette volonté incapable d'être concrétisée va continuer à être le ventre mou de la politique américaine en Afrique.
Le Quotidien du Peuple (1er juillet 2013, 21 Edition)
En visite en Afrique du Sud, le président américain Barack Obama a prononcé le 30 juin à l'Université du Cap un discours sur la politique américaine envers l'Afrique. Il a notamment annoncé que les Etats-Unis vont investir 7 milliards de Dollars dans un projet de cinq ans destiné à faciliter l'accès des pays d'Afrique sub-saharienne à l'électricité. En outre, il a également annoncé qu'il invitait les chefs d'Etat de l'Afrique sub-saharienne à tenir un sommet à Washington l'année prochaine.
L'Afrique est favorable à une concurrence raisonnable
Depuis 2009, la Chine a dépassé les Etats-Unis pour devenir le plus grand partenaire commercial de l'Afrique. En 2012, le volume du commerce Chine-Afrique a atteint environ deux fois celui du commerce Etats-Unis-Afrique. Au sujet de la visite de Barack Obama en Afrique, les médias internationaux se sont livrés à une comparaison des relations américano-africaines et des relations sino-africaines. Barack Obama a mentionné à plusieurs reprises les investissements et les activités commerciales des États-Unis et de la Chine en Afrique. Le 30 juin, le quotidien sud-africain « Sunday Times » a publié une énorme photo de Barack Obama en première page, prise pendant son discours à l'Université de Johannesburg, avec au-dessus le titre « No worries, China » (Que la Chine ne s'inquiète pas). Selon l'article de l'agence de presse sud-africaine, les Etats-Unis ont commencé à se rendre compte qu'ils sont petit à petit en train de se faire dépasser par la Chine en Afrique. De son côté, l'agence de presse rwandaise a souligné que quand Barack Obama insiste sur les opportunités d'affaires en Afrique, sur la soi-disant défense de la démocratie et les droits de l'homme, c'est en fait pour défendre les intérêts américains, parce que les Etats-Unis sont désireux de contrebalancer la présence chinoise en Afrique.
Un professeur à l'Université de Kinshasa, au Congo, a déclaré que les pays occidentaux, dont les Etats-Unis, n'ont jamais vraiment aidé les pays africains à parvenir au développement, mais que dans leur esprit la présence de la Chine en Afrique, qui n'est pas justifiée, est suspecte. Ce à quoi tient le plus l'Afrique d'aujourd'hui, c'est à l'industrialisation de ses pays, mais, dans le processus de développement de l'Afrique, les pays occidentaux ont mis en place tout une série de pièges, et cela n'a rien de bon pour l'Afrique.
Les pays africains acceptent volontiers que la Chine et les Etats-Unis entrent en concurrence en Afrique. Une concurrence raisonnable sera bénéfique au développement de règles du jeu plus claires, et elle sera propice au développement économique de l'Afrique et à l'amélioration des conditions de vie des populations locales.
Une volonté souvent impuissante à se concrétiser
Barack Obama a annoncé son intention d'investir 7 milliards de Dollars pour améliorer l'accès à l'électricité dans les pays d'Afrique subsaharienne, et de combattre la pauvreté et les maladies par le biais de programmes d'aide alimentaire et sanitaire en Afrique. Bien que beaucoup en Afrique se soient montrés critiques envers les Etats-Unis et ce qu'ils considèrent avant tout comme de « belles paroles pas toujours suivies d'effets », il n'en reste pas moins que ces annonces sont fortement chargées en symboles.
L'administration Obama est consciente depuis longtemps de la signification et de l'importance stratégiques de l'Afrique subsaharienne, mais ces dernières années, l'évolution de la situation stratégique globale où ont émergé de manière plus pressante de nombreux dossiers internationaux sensibles, a fait que la mise en œuvre par les États-Unis de leur politique en Afrique s'est trouvée prise dans un dilemme délicat. La visite de Barack Obama dans trois pays, un d'Afrique de l'Ouest, un d'Afrique australe et un d'Afrique de l'Est, vise à renforcer l'influence américaine sur le continent, mais ne pas être allé au Kenya, d'où viennent pourtant ses ancêtres, et d'autres décisions ont suscité des insatisfactions et des critiques. Cette volonté incapable d'être concrétisée va continuer à être le ventre mou de la politique américaine en Afrique.
Le Quotidien du Peuple (1er juillet 2013, 21 Edition)
Afrique : l’influence de la Chine ne menace pas Washington, selon Obama | CultureFemme
Afrique : l’influence de la Chine ne menace pas Washington, selon Obama | CultureFemme
Les Etats-Unis ne se sentent pas menacés par les investissements chinois, assure le président Obama. S’exprimant lors d’une conférence presse conjointe, à Pretoria, avec le président Zuma, M. Obama s’est félicité de l’attention que des pays comme la Chine, l’Inde et le Brésil accordent à l’Afrique. Mais il a souligné que les pays africains devraient s’assurer que ces investissements créent des emplois et de l’argent pour les gens ordinaires
Le président Barack Obama poursuit en Afrique du Sud le périple africain qui le conduira dans trois pays. Il a eu des entretiens, samedi, avec son homologue sud-africain, Jacob Zuma. M. Obama a abordé les questions d’économie et de gouvernance, ainsi que celle du Zimbabwe, qui est confronté à une élection présidentielle tumultueuse.
Au plan économique, le chef de l’exécutif américain a dit les Etats-Unis veulent accroître les relations commerciales avec l’Afrique – et qu’ils ne se sentent pas menacés par les grands investissements chinois sur le continent.
S’exprimant lors d’une conférence presse conjointe, à Pretoria, avec le président Zuma, M. Obama s’est félicité de l’attention que des pays comme la Chine, l’Inde et le Brésil accordent à l’Afrique. Mais il a souligné que les pays africains devraient s’assurer que ces investissements créent des emplois et de l’argent pour les gens ordinaires.
Les groupes de défense des droits de l’Homme accusent les entreprises chinoises d’exploiter les ressources naturelles de l’Afrique tout en soutenant les gouvernements corrompus et répressifs ; des accusations que rejette la Chine.
M. Obama a expliqué que les Etats-Unis veulent promouvoir les investissements qui, selon ses propres termes, libèrent la croissance en Afrique du Sud, tout en bénéficiant aux États-Unis. A cette fin, il a dit qu’il veut renouveler l’African Growth and Opportunity Act (AGOA), une loi conçue pour stimuler les exportations africaines vers les marchés américains.
L’Afrique du Sud est la deuxième étape de la tournée africaine de M. Obama.
Le président Zuma organise un dîner d’Etat en l’honneur du président américain le samedi soir. Avant cela, Barack Obama tiendra un forum citoyen à Soweto, le township de Johannesburg qui a joué un rôle crucial lors des manifestations contre l’apartheid.
Les responsables de la Maison Blanche dit M. Obama et son épouse Michelle n’iront pas visiter l’icône anti-apartheid Nelson Mandela, hospitalisé depuis trois semaines à Pretoria. Les Obama vont plutôt s’entretenir en privé avec les membres de la famille de l’ancien président, qui est dans un état critique mais stable. La décision a été prise par déférence pour « la paix et de confort » de M. Mandela et les souhaits de sa famille.
Le président Obama prévoit de visiter Robben Island, la prison où Nelson Mandela a passé une grande partie de ses 27 années derrière les barreaux après avoir été reconnu coupable de complot pour renverser le gouvernement de l’apartheid en Afrique du Sud.
Avant l’arrivée de M. Obama, les manifestants se sont rassemblés au Cap et Pretoria vendredi. Ils chantaient et agitaient des bannières pour exprimer leur mécontentement au sujet de M. Obama sur un large éventail de questions, y compris l’utilisation de drones, la prison américaine de Guantanamo Bay, à Cuba, et le soutien américain à Israël.
Le président Obama quitte l’Afrique du Sud lundi pour la Tanzanie avant de regagner Washington. Source : VOA
Les Etats-Unis ne se sentent pas menacés par les investissements chinois, assure le président Obama. S’exprimant lors d’une conférence presse conjointe, à Pretoria, avec le président Zuma, M. Obama s’est félicité de l’attention que des pays comme la Chine, l’Inde et le Brésil accordent à l’Afrique. Mais il a souligné que les pays africains devraient s’assurer que ces investissements créent des emplois et de l’argent pour les gens ordinaires
Le président Barack Obama poursuit en Afrique du Sud le périple africain qui le conduira dans trois pays. Il a eu des entretiens, samedi, avec son homologue sud-africain, Jacob Zuma. M. Obama a abordé les questions d’économie et de gouvernance, ainsi que celle du Zimbabwe, qui est confronté à une élection présidentielle tumultueuse.
Au plan économique, le chef de l’exécutif américain a dit les Etats-Unis veulent accroître les relations commerciales avec l’Afrique – et qu’ils ne se sentent pas menacés par les grands investissements chinois sur le continent.
S’exprimant lors d’une conférence presse conjointe, à Pretoria, avec le président Zuma, M. Obama s’est félicité de l’attention que des pays comme la Chine, l’Inde et le Brésil accordent à l’Afrique. Mais il a souligné que les pays africains devraient s’assurer que ces investissements créent des emplois et de l’argent pour les gens ordinaires.
Les groupes de défense des droits de l’Homme accusent les entreprises chinoises d’exploiter les ressources naturelles de l’Afrique tout en soutenant les gouvernements corrompus et répressifs ; des accusations que rejette la Chine.
M. Obama a expliqué que les Etats-Unis veulent promouvoir les investissements qui, selon ses propres termes, libèrent la croissance en Afrique du Sud, tout en bénéficiant aux États-Unis. A cette fin, il a dit qu’il veut renouveler l’African Growth and Opportunity Act (AGOA), une loi conçue pour stimuler les exportations africaines vers les marchés américains.
L’Afrique du Sud est la deuxième étape de la tournée africaine de M. Obama.
Le président Zuma organise un dîner d’Etat en l’honneur du président américain le samedi soir. Avant cela, Barack Obama tiendra un forum citoyen à Soweto, le township de Johannesburg qui a joué un rôle crucial lors des manifestations contre l’apartheid.
Les responsables de la Maison Blanche dit M. Obama et son épouse Michelle n’iront pas visiter l’icône anti-apartheid Nelson Mandela, hospitalisé depuis trois semaines à Pretoria. Les Obama vont plutôt s’entretenir en privé avec les membres de la famille de l’ancien président, qui est dans un état critique mais stable. La décision a été prise par déférence pour « la paix et de confort » de M. Mandela et les souhaits de sa famille.
Le président Obama prévoit de visiter Robben Island, la prison où Nelson Mandela a passé une grande partie de ses 27 années derrière les barreaux après avoir été reconnu coupable de complot pour renverser le gouvernement de l’apartheid en Afrique du Sud.
Avant l’arrivée de M. Obama, les manifestants se sont rassemblés au Cap et Pretoria vendredi. Ils chantaient et agitaient des bannières pour exprimer leur mécontentement au sujet de M. Obama sur un large éventail de questions, y compris l’utilisation de drones, la prison américaine de Guantanamo Bay, à Cuba, et le soutien américain à Israël.
Le président Obama quitte l’Afrique du Sud lundi pour la Tanzanie avant de regagner Washington. Source : VOA
Obama: «La présence chinoise en Afrique ne nous effraie pas»
Obama: «La présence chinoise en Afrique ne nous effraie pas»Les Etats-Unis ne se sentent pas menacés par la croissance du commerce et de l'investissement en Afrique par la Chine et d'autres puissances émergentes, a déclaré le président américain Barack Obama, samedi dernier.
La Chine a considérablement élargi sa portée en Afrique depuis le début de ce nouveau siècle. elle a dépassé les Etats-Unis comme le plus grand partenaire commercial de l'Afrique en 2009. D'ailleurs, un rapport de Février dernier, publié par le U.S. Government Accountability Office (GAO) le démontre.
Pékin et Washington devraient être des partenaires en Afrique pour favoriser le développement et la paix, a commenté un officiel chinois après qu' Obama ai fait ses remarques.
Obama a également déclaré que les interactions des États-Unis avec l'Afrique incluent des objectifs de développement social et politique, contrairement aux chinois qui ne cherchent que des avantages commerciaux.
La Chine a considérablement élargi sa portée en Afrique depuis le début de ce nouveau siècle. elle a dépassé les Etats-Unis comme le plus grand partenaire commercial de l'Afrique en 2009. D'ailleurs, un rapport de Février dernier, publié par le U.S. Government Accountability Office (GAO) le démontre.
Pékin et Washington devraient être des partenaires en Afrique pour favoriser le développement et la paix, a commenté un officiel chinois après qu' Obama ai fait ses remarques.
Obama a également déclaré que les interactions des États-Unis avec l'Afrique incluent des objectifs de développement social et politique, contrairement aux chinois qui ne cherchent que des avantages commerciaux.
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